« Les scientifiques du bout du monde »

Synopsis

Pourquoi partir au bout du monde ? Pourquoi quitter sa maison, ses enfants pour des missions parfois périlleuses, souvent longues, toujours éprouvantes ? Pour l’amour de la science, de la connaissance. Parce que l’envie de comprendre, d’expliquer la complexité du monde est plus forte que tout. Plus forte que les conditions climatiques, l’éloignement, les conditions de vie spartiates. Les hommes et les femmes que nous suivons sont des passionnés, des acharnés de la science.

LE REPORTAGE

Le reportage est une forme de récit journalistique qui privilégie le témoignage direct.

Le reportage est d’abord un compte rendu d’événements auxquels assiste le journaliste sur le terrain. Dès les débuts de la presse, et notamment à partir du XVIIe siècle, les « nouvellistes » alimentaient les gazettes en informations de toutes sortes récoltées dans les villes où ils se rendaient, dans les salons et les tavernes où ils laissaient traîner une oreille, ou auprès des personnalités qu’ils fréquentaient . (Wikipédia)

Pour en savoir plus

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Extrait

Reportages

Ces francais aventurier du bio

Ils ont le goût de l’aventure et ont décidé de tenter l’expérience du bio aux quatre coins du monde. Au fil de l’Amazone, nous suivons Roland, chef cuisinier d’un grand restaurant de Rio, avide de découvrir les produits naturels que renferme son pays d’adoption comme le coeur de palmier et l’acaï, une baie violette gorgée de vitamines. Mathias, quant à lui, a eu le projet fou d’élever des gambas bio à Madagascar. Plus de 800 personnes travaillent aujourd’hui dans sa ferme bio qui exporte des gambas à travers toute l’Europe. Il y a aussi Nancy qui élève bars et dorades bios à Galaxidi, en Grèce. Enfin, il y a le « chef bio » Paolo Sari dont le restaurant est à Monte Carlo qui va jusqu’à trouver la vanille sauvage parfaite en Amazonie. — avec Ludovic Lang Sébastien Renouil et Jean etienne mach.

extrait

La cite des glaces

Parmi les reportages diffusés lors de l’émission 7 à 8 ce dimanche 16 février 2014 sur TF1, un document « glacial » d’une vingtaine de minutes.

De la neige à perte de vue, des températures de – 50 °C, un hiver long de sept mois : Iakoutsk, en Russie, détient le record de la ville la plus froide du monde. Des conditions de vie rudes pour les 300.000 habitants, dont Christophe, le seul Français à y avoir élu domicile. Ce prof de 25 ans, originaire de la région parisienne, a fini par s’habituer à la morsure du froid. Il pratique même une fois par semaine avec ses amis russes la tradition du » banya « , une séance de sauna qui se termine par un saut (nu) dans la neige ! Mais, ces températures extrêmes ne sont pas sans conséquences graves sur la vie des habitants : chaque année, près de 150 personnes y meurent de froid…

Un document de Clément FOUQUET, Jean Etienne MACH :

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Ces francais qui vivent en Argentine

Nouvelles vies en Argentine Un reportage de Rebecca Martin – Images : Jean Etienne Mach – Son: Güido Deniro Montage : Benoit Chanal, Yumano press

Avec une superficie équivalente à 5 fois la France et seulement 14 habitants au kilometre carré, l’Argentine est l’un des pays les moins peuplés au monde.

Des plaines désertiques de Patagonie, jusqu’aux montagnes ocres de la cordillères des Andes en passant par la capitale Buenos Aires et son atmosphère très européenne, L’Argentine fascine.

Près de 15000 français ont choisi d’y élire domicile et pour certains d’entre eux, il s’agit d’un changement de vie radical, parfois même d’un « coups de foudre ».

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